J’ai moins tweeté ces derniers temps. Un impression qui se confirme avec un rapide coup d’oeil à mes statistiques Twitter, via l’application Buffer. Sans doute parce que je bidouille avec Snapchat. Et que j’essaie de revigorer mon compte Instagram, un peu poussif.
Bref, en 2016, ce sont 28 tweets envoyés par mois en moyenne. Contre plus de 36 tweets mensuels en 2015, toujours en moyenne.
Au cours des trois derniers mois, sur les 86 tweets envoyés :
- 9 étaient en anglais et 77 en français.
- 40% de ces tweets (25 tweets dont 4 en anglais) concernent le digital et les réseaux sociaux.
- 22% ont, pour thématique, l’Université de Liège. Tous en français.
- Parmi les autres thématiques : le journalisme (8 tweets) et les startups (6 tweets).
- La moitié des tweets (43) ont bénéficié d’au moins 1 retweet. Parmi ces 43 tweets, 4 sont en anglais.
- le tweet qui a le mieux fonctionné a été retweeté 8 fois.
- Les 10 tweets qui ont été le plus retweeté sont tous en français et 8 ont, au minimum, une mention dans le message et 7 concernent l’Université de Liège.
So what?
- Premier constat, le français semble devenir la langue prédominante dans mon flux. Cette question me turlupine depuis plusieurs années. J’avais même essayé de séparer en deux comptes – @quanahzimmerman en français et @quanah en anglais. La bonne idée. Ca n’a (évidemment) pas fonctionné et le second handle, moins utilisé, a progressivement été abandonné. C’aurait sans doute du être l’inverse – pourquoi gaspiller inutilement de précieux caractères avec mon nom de famille ? Le même dilemme de la langue se pose actuellement sur Instagram et Medium. C’est un peu schizophrène, par moments.
- Deuxième constat : je suis relativement cohérent dans les thématiques que je (re)diffuse.
- Enfin, troisième constat : il faut tout de même admettre que mon impact via Twitter est (vraiment) très faible. A ma décharge, je n’ai pas de réel objectif. Pas de call to action qui me permette de mesurer cet impact. Parce que je ne lance jamais de right hook, comme dirait un certain Gary Vaynerchuk.
